Madame la censure a laissée un pâté sur le texte de Môssieur. et au sujet du pet de souris verte, les textes-info ci-joints confirment malheureusement ce que tout le monde prédisait.
N’AYEZ PAS PEUR QU’IL DISAIT , SI SI
Nous étions devant la mairie de Paris le 13 Octobre 2007
signé : l’homme à la gourde
Dans un des textes, on préconise de réduire de 50% les pesticides en 10 ans. Ben voyons, vous serez d’accord avec moi sur le fait que l’on peut réduire de 100% en deux jours. La méthode ? et bien en leur faisant bouffer à ces inconditionnels, mais à dose "raisonnée" comme ils disent bien sûr.
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> les agents retardateurs de conscience
11 octobre 2007 à 13h44min PEILLARD Jean-Yves
Objet : Exclusif : des pesticides dans les fruits des eurodéputés !
Lettre d’information du MDRGF
Exclusif : des résidus de pesticides toxiques dans les fruits des eurodéputés !
Des résidus de pesticides toxiques, en nombre et au-delà des seuils légaux, dans les fruits des eurodéputés !
Mercredi 10 octobre à 10h30 au Parlement Européen, le réseau PAN- Europe (dont le MDRGF est un des administrateurs) et l’ONG Milieudefensie (Pays-Bas) ont présenté les résultats des analyses de résidus de pesticides contenus dans des fruits achetés dans une boutique du Parlement Européen à Bruxelles. Des résultats étonnants !
Comme nous l’annoncions dans notre communiqué du 9 octobre, les résultats des analyses en résidus de pesticides contenus dans des fruits achetés dans une des boutiques du Parlement Européen ont été révélés lors de cette conférence de presse. Des résultats qui doivent inciter au changement.
L’enquête et les fruits ciblés. En juillet 07, des représentants de nos ONG ont acheté au sein du parlement européen 8 fruits différents (fraises, abricots, oranges, pommes, poires et 3 sortes de raisins). Ces fruits ont été analysés pour évaluer leur teneur en résidus de pesticides. La plupart des échantillons testés provenaient de l’UE : fraises belges, oranges espagnoles, 2 types de raisin d’Italie, pommes et poires françaises. L’une des grappes de raisin venait d’Egypte. Pas d’origine indiquée pour les abricots.
Résultats : Tous les fruits contaminés ! 28 résidus de pesticides différents ont été retrouvés dans les échantillons, avec en moyenne 5 résidus différents par fruit, tous les échantillons étant contaminés. Fait remarquable : 14 pesticides différents rien que pour les fraises !
Parmi ces pesticides, on a retrouvé 10 cancérigènes connus, 3 neurotoxiques, 3 toxiques pour le développement ou le système reproducteur et 8 perturbateurs endocriniens suspectés. 2 de ces polluants ont été classés comme « hautement dangereux » par l’OMS.
Abricots, raisins et orange contenaient des résidus au delà de la Limite Maximale en Résidus (LMR) – seuil légal à ne pas dépasser : dont des perturbateurs endocriniens pour les abricots, un cancérigène pour le raisin ainsi que pour les oranges etc.
Ces analyses corroborent les enquêtes annuelles menées au niveau de l’UE faisant état en 2006 de plus de 324 pesticides différents retrouvés dans les 60450 échantillons testés. Avec plus de 40% des échantillons contaminés par des pesticides et 3% au-dessus des LMR. Pour la France ce sont 48% des aliments qui contiennent des pesticides dont 5% qui dépassent les LMR.
Les futures législations « La présence de pesticides dans les aliments, parfois à des niveaux importants, est la conséquence directe de la politique agricole européenne menée depuis plus de 50 ans. Chaque année, plus de 200 000 tonnes de pesticides sont épandus en Europe dont 1/3 en France ! Nombre de pesticides sont dangereux pour la santé et l’environnement. Alors que la question des pesticides occupe le devant de la scène en France, nous pensons qu’il est temps de prendre les mesures qui s’imposent pour une plus grande protection de la santé et de l’environnement. Comment ? En interdisant les pesticides préoccupants et instaurant un programme de réduction des pesticides de 50% en 10 ans. Lors du vote en plénière en Octobre sur les législations pesticides, le parlement européen a une occasion unique de prouver qu’il agit pour la protection de ces concitoyens. En France, le Grenelle de l’environnement devra impérativement déboucher sur l’adoption d’un plan de réduction de 50% de l’usage des pesticides dans les 10 prochaines années . Il ne faudra pas manquer ces rendez-vous. Nous saurons y être attentifs. », déclare François Veillerette, Administrateur de PAN-Europe et Président du MDRGF.
Pour en savoir plus... ...sur le site du MDRGF
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> les agents retardateurs de conscience
11 octobre 2007 à 13h47min PEILLARD Jean-Yves
à diffuser dans vos réseaux.
> 10 octobre 2007 - n° 19 - Rédaction TS > > > Vive réaction de l ’association négaWatt à la publication du > "rapport Syrota" > > Sous l’autorité de M. Jean Syrota, la Commission Energie du Centre > d’Analyse Stratégique (CAS) vient de publier hier soir un rapport > sur les "Perspectives énergétiques de la France à l’horizon > 2020-2050". Pour télécharger ce document : http:// > www.strategie.gouv.fr/article.php3 ?id_article=675 > > La presse s’est déjà faite écho des deux scénarios étudiés dans ce > rapport qui concluent à l’impossibilité, selon eux, de diminuer par > 4 les émissions à gaz à effet de serre de la France à l’horizon 2050. > > La publication de ce rapport en pleine phase centrale du Grenelle > de l’Environnement a amené de notre part à une vive réaction, > d’autant plus légitime que nous avons participé à plusieurs > réunions de cette commission Energie. L’association Energies-Cités, > également participante à ce groupe de travail, s’est également > désolidarisée des résultats publiés. > > Vous trouverez ci-après et en pièce jointe un communiqué en > réaction aux conclusions de ce document : merci de le diffuser > largement auprès de vous, et plus particulièrement auprès des > médias et journalistes concernés. Un travail d’analyse plus > approfondi est en cours. > > > ------------ communiqué de l’association négaWatt > ------------------------------------------------------------------ > > Rapport Syrota sur l’énergie : l’échec programmé des recettes du passé > > La Commission Energie du Centre d’Analyse Stratégique (CAS), sous > l’autorité de M. Jean Syrota, vient de publier un rapport > "Perspectives énergétiques de la France à l’horizon 2020-2050". > > L’association négaWatt avait été invitée à participer à ces > travaux, et nous avions bien entendu accepté de contribuer à une > confrontation constructive et plurielle sur ce sujet majeur. > > Il n’y a pas eu l’esquisse d’un véritable débat. Les représentants > de négaWatt ont, avec d’autres, pointé à plusieurs reprises des > problèmes de méthode et d’orientation sans être entendus. > > Les deux seuls scénarios étudiés par le CAS reposent sur des > hypothèses très proches entre elles, mais très éloignées d’une > rupture énergétique pourtant invoquée par le rapport : trop peu > d’efficacité énergétique et d’énergies renouvelables, aucune > politique territoriale décentralisée de l’énergie et le nucléaire, > dogme intangible, considéré comme seul moyen sérieux de lutte > contre le changement climatique. > > La conclusion est inscrite dans ces choix arbitraires. La France ne > serait pas en mesure, comme elle s’est pourtant engagée à le faire > avec la loi d’orientation sur l’énergie de 2005, de diviser par 4 > ses émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2050 : elle > devrait se contenter d’une division par 2,1 à 2,6. > > A ce manque d’audace et à cet échec programmé s’ajoute une certaine > forme de cynisme : plutôt que de chercher des réponses à la hauteur > des enjeux qui permettraient à la France de tenir sa parole, on > préfère esquiver les problèmes en reportant l’effort supplémentaire > sur nos voisins européens en conclusion d’un raisonnement alambiqué > où l’équité est appelée à la rescousse du conservatisme des scénarios. > > Or, le « facteur 4 » correspond précisément à une contribution > équitable de la France pour atteindre un facteur 2 au niveau > mondial, objectif minimum pour espérer contenir les impacts des > changements climatiques dans une limite supportable. > > Ainsi les mêmes qui louent les vertus du nucléaire en matière > d’effet de serre voudraient condamner la France au renoncement, > alors qu’il existe des solutions crédibles conduisant effectivement > au facteur 4, de surcroît fortement bénéfiques pour l’économie et > l’emploi ! > > La publication de ce rapport à ce stade du Grenelle de > l’Environnement est un camouflet aux participants du « groupe1 - > énergie et climat » qui, à l’unanimité et tous collèges confondus, > ont confirmé l’impératif du facteur 4 en exergue de leurs > propositions d’action. > > Dans ces conditions, il est impensable pour l’association négaWatt > de s’associer aux conclusions du rapport dont elle dénonce la > méthode comme les résultats. > > Un vrai travail d’expertise énergétique, pluraliste et > démocratique, reste à construire : pour que le Grenelle de > l’Environnement ne se transforme pas en Yalta des grands groupes > énergétiques, il faudra faire preuve de beaucoup plus d’imagination > que la simple poursuite des recettes du passé
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