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Mépriser v. tr. XIIe siècle, au sens de « mésestimer ». Composé de mé- et de priser .Avoir, témoigner du ... t pas lui. C’est un homme universellement méprisé. Mépriser la bassesse, les flatteries. Pron. Il se méprise d... ur ou de la crainte qu’elle inspire ordinairement. Mépriser les biens de ce monde. Mépriser la calomnie. Par a... les conseils qu’on lui donne. Cet avis n’est pas à mépriser. Mépriser les conventions.... Catégorie : Dictionnaire de l’Académie
Dépiter v. tr. XIIIe siècle, au sens de « mépriser ». Emprunté du latin despectare, « regarder d’en haut... ; mépriser ».Remplir de dépit. Cet échec l’a profondément dép... Catégorie : Dictionnaire de l’Académie
Abject , -ECTE (c et t se prononcent) adj. XVe siècle. Emprunté du latin abjectus, participe passé de a... bjicere, « laisser, rejeter, mépriser ».Qui inspire le dégoût et le mépris. Un personnag... Catégorie : Dictionnaire de l’Académie
Annuler v. tr. XIIIe siècle. Emprunté du latin chrétien annulare, « mépriser, considérer comme nul », pu... Catégorie : Dictionnaire de l’Académie
Conspuer v. tr. XVIe siècle. Emprunté du latin conspuere, « salir de crachats, mépriser ».En parlant d’un... Catégorie : Dictionnaire de l’Académie
Contempteur , -TRICE (le p se fait entendre) n. XVe siècle. Emprunté du latin contemptor, « qui dédaigne, qu... i méprise », de contemnere, « mépriser ».Class. Personne qui affiche son mépris pour quel... Catégorie : Dictionnaire de l’Académie
Bêcher v. tr. XIIe siècle, bescher. Probablement du latin populaire *bessicare, dérivé de bessus, « bêc... méchamment, avec malveillance ; regarder de haut, mépriser. Elle bêche ses meilleures amies. Depuis qu’il a o... Catégorie : Dictionnaire de l’Académie
Dédaigneux , -EUSE adj. XIIe siècle, desdeignos. Dérivé de dédaigner.Qui a ou qui marque du dédain. Il est ... es distinctions, qui les méprise ou affecte de les mépriser. Dédaigneux de plaire, qui ne se soucie pas de pla... Catégorie : Dictionnaire de l’Académie
Flatterie n. f. XIIIe siècle. Dérivé de flatter. Le fait de flatter, par des louanges fausses ou excessive... s. Mépriser la flatterie, être ennemi de la flatterie. Parler ... Catégorie : Dictionnaire de l’Académie
Méprisant , -ANTE adj. XIIIe siècle, mesprisant . Participe présent de mépriser .Qui marque du mépris à l’... Catégorie : Dictionnaire de l’Académie
Méprisable adj. XIVe siècle. Dérivé de mépriser . 1. Qui est digne de mépris. Un individu méprisable. Une a... Catégorie : Dictionnaire de l’Académie Fi ! interj. XIIe siècle. Onomatopée.Vieilli. Sert à exprimer le mépris, la répugnance, le dégoût qu’... loie surtout dans la locution verbale Faire fi de, mépriser, dédaigner. Il a eu tort de faire fi de vos consei... Catégorie : Dictionnaire de l’Académie
Emmerder v. tr. XVe siècle, « couvrir de merde ». Dérivé de merde. I. Vulg. et vieilli. Couvrir d’excréme... dait. On s’est emmerdé pendant le premier acte. 3. Mépriser quelqu’un en le défiant ouvertement. Messieurs, je... Catégorie : Dictionnaire de l’Académie
Boue n. f. XIIe siècle, boe. Probablement du gaulois *bawa, « saleté ». 1. Mélange de terre, de pouss... ue de ses souliers, ne s’en soucier aucunement, la mépriser. 2. Terre gorgée d’eau. Les eaux du Nil charrient ... Catégorie : Dictionnaire de l’Académie Fâcher v. tr. XVe siècle, fachier, fascher. Probablement issu, par l’intermédiaire du latin populaire *... classique fastidire, « avoir du dégoût, dédaigner, mépriser ». 1. Mettre en colère, irriter. Prenez garde de l... Catégorie : Dictionnaire de l’Académie
Mépris n. m. XIIIe siècle, au sens de « prix inférieur à la valeur réelle ». Déverbal de mépriser .Sent... Catégorie : Dictionnaire de l’Académie
Moquer v. tr. et pron. XIIe siècle. D’origine obscure. I. V. tr. Railler, tourner en dérision, en ridic... t se mettre à l’abri du danger avant d’en rire. 2.
Mépriser ou braver ; montrer de l’indifférence, du dédain, ... Catégorie : Dictionnaire de l’Académie
Vous voyez le mépris est employé dans des tas de situation
Méprisant n’est pas assimilé à avoir du mépris, il est dit : C’est marquer du mépris.
Le mépris fait partie de ces termes éminemment (intersubjectif).
Termes qui de précision en précision dans leur valeur d’échange vont s’approcher d’ une espèce de pureté mythique dans leur valeur d’usage, qu’on retrouve dans ce genre de définition (plus haut) qui s’appuyent sur les origines linguistique d’un mot.
On peut mépriser des choses des idées des biens. Il y a toujours une attitude stoicque.
On peut avoir aussi mépriser une solution c’est alors se méprendre.
Mais dans sa dimension inter subjective :
Par exemple pour le tortionnaire qui méprise sa victime, il y a de la haine ("haissure") plutôt qui va jusqu’à la méprise. Car la victime à un moment méprise son tortionnaire, au delà la mort et et sans haine.
Lequel est alors le vrai mépris, le mépris le plus pur.
Devons nous être là dedans . surement pas. Devons nous opposer aux marques de mépris , par le vrai mépris qui marque. Non plus
Celui là est dans l’au delà, il est mythique et n’appartient à personne.
Mais en tout cas peut être essayer de sortir de ce tintamarre.
Quant à ceux qui ne répondent pas, le plus souvent c’est qu’ils en sont dans l’incapacité, s’étant rendu eux même muet, et rationalisant ça par des attitudes de dédain ou des marques de mépris. Ceci est à l’opposé des vrais silences qui, eux, parlent.
Qu’y pouvons nous ? attendre indéfiniment, peut être ?
Je voudrais rajouter que j’ai trouvé en me baladant sur internet un type qui préfère parler dans certains cas de "haissure" plutôt que de haine. La haine étant réservé au pendant en miroir de l’amour. Il y a encore de la noblesse dans la haine
Hommage au chanteur rasta non violent d’Afrique du sud. A Steve Biko et à tous les assassinés de l’apartheid et de l’après.