Encore assommés
Déracinés dans le vent
Quais des peines muettes
Les ombres savent, se taisent
Un enfant pleure une douleur inconnue
Avec toi mon enfant nous pleurons nos rêves
L’humanoïde est là, les visages s’effacent et les mains saignent
Ce matin c’est la nuit qui vient, jusqu’a ce soir la... (lire la suite)
Un souvenir du Souk de Paris, sous le soleil exactement...
Souk poème
Soleil festif toutes couleurs chaleureusement mélangées
Oh, il faisait chaud ce 15 du joli mois d’avril
Une embellie de tous ensemble, un parfum d’avenir prenait ses marques bigarrées
Kafkaïenne au yeux morts du passé, notre... (lire la suite)